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| Dans la logique du «je vous parle», l'organisation met de l'information en ligne. En effet, une majorité d'organisations disposant d'un site web s'est fixée comme objectif principal l'information des usagers sur l'activité de l'organisation elle-même. Ces sites «institutionnels», constituent dans la plupart des cas une première étape dans la définition de services plus élaborés.
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| Cette phase correspond à l'ouverture de l'organisation en matière de NTIC sur son environnement immédiat. Elle cherche à se rapprocher virtuellement des acteurs qui participent au rayonnement et au développement du territoire. Elle doit pouvoir communiquer facilement et se coordonner avec eux. Ces sites plus «dynamiques» offrent de nombreux liens vers les autres acteurs, possibilité d'envoyer des e-mails à l'organisation, de s'abonner à des «newsletters» ou à des systèmes de «push», d'imprimer ou de commander des formulaires qui seront ensuite à renvoyer par courrier.
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| L'organisation est en capacité de gérer seule les outils et leurs potentialités. Dans cette phase, les mentalités ont évolué vers plus de réactivité, de précision et de pertinence dans les réponses, vers une recherche accrue d'efficacité, vers un plus grand souci du destinataire (orientation client) et vers une meilleure gestion du contact. Cette phase d'évolution ne se résume pas à la ma î trise technique des outils mais se place plutôt dans un processus d'évolution globale du service : évolution de la conception de la communication qu'ont les visiteurs et évolution de la perception qu'ont les membres de votre organisation de leurs missions à travers deux maîtres mots : pertinence et réactivité.
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| La plupart des sites souffrent d'actualisation insuffisamment fréquente et sont par conséquent peu crédibles et délaissés par les visiteurs. Il s’agit d’assurer l'actualisation selon des modalités définies contractuellement. Les mises à jours sont gage du bon dynamisme du site. En terme de maintenance pure, le support est défini en terme de priorité de niveau 1, 2 ou 3 selon le degré de criticité de l’anomalie.
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